Archives de la catégorie : Vitalité

La baisse avérée de la qualité de notre alimentation

Les bilans de vitalité font régulièrement ressortir – chez les personnes venant en consultation – une carence en minéraux, oligo-éléments voire acides aminés.

Nombreuses d’entre elles sont surprises parce qu’elles mangent sainement, choisissant le plus souvent possible la nourriture « bio ». Mais rappelons que si le label « BIO » signifie « absence de produits chimiques », il ne veut pas dire pour autant présence de nutriments suffisants pour l’organisme.

Une dizaine d’études Outre-Atlantique ont montré que l’augmentation des rendements agricoles appauvrit les terres à tel point que nos aliments sont aujourd’hui vides de ces nutriments, pourtant vitaux à nos corps.

Ainsi en ce qui concerne la vitamine C, une pomme des années 1950 équivaut à cent pommes d’aujourd’hui.

Pour la vitamine A, une orange d’hier vaut vingt et une oranges d’aujourd’hui. Quant aux pommes de terre, elles n’en auraient plus un seul gramme.

Pour le calcium, le brocoli en contenait 13 mg dans les années 50 pour ne proposer aujourd’hui que 4 mg.
Compte tenu de cet appauvrissement, il n’est pas étonnant que nos organismes engendrent des maladies et n’est pas suffisamment fort pour contrer les agressions extérieures.

Source : Principes de santé – Mars 2015

Comment en arrive t-on à fragiliser notre santé ?

L’alimentation que l’on trouve aujourd’hui dans les magasins (y compris bio) est tellement déséquilibrée en faveur des produits mauvais pour la santé, que vous êtes sûr de vous retrouver tôt ou tard malade, trop gros, trop fatigué, ou trop énervé.

En effet, il ne subsiste plus que peu de produits simples dans nos étales en dehors des fruits et légumes face à tous ceux travaillés tant au niveau des ingrédients qu’au niveau marketing, ceci pour nous inciter à toujours plus consommer.

L’exemple de l’amande, l’aliment santé par excellence. 

25 à 50 g d’amandes entières croquées quotidiennement, simplement décortiquées, concoure à un mode de vie sain. Elles apportent des vitamines du groupe B (surtout vitamine B1, B6 et B9), du magnésium (particulièrement bien assimilé), du potassium, du phosphore, du fer, du zinc, du cuivre, des protéines (2 à 3 g par portion) et des fibres. De plus, les amandes sont riches en acides gras mono-insaturés (68 % de leurs lipides) et polyinsaturés, ce qui contribue à la bonne santé du cœur et des artères, entre autres bienfaits.

Mais nos rois du marketing commercial se sont aperçus que, légèrement grillées, les amandes craquaient mieux sous la dent. Puis ils ont vu que bien salées, elles faisaient plus saliver. Mais ça ne suffisait pas alors ils ont ajouté un petit goût de fumé, irrésistible.

Le problème, c’est que des amandes grillées, salées, fumées, n’ont plus du tout les mêmes qualités nutritionnelles. La cuisson a détruit les précieux acides gras polyinsaturés, beaucoup de vitamines sont perdues. Pour faire tenir le sel, il a fallu ajouter de l’huile d’arachide (l’huile d’amande est trop chère) alors que de nombreuses personnes sont allergiques à l’arachide.

Beaucoup de personnes qui n’achetaient jamais d’amandes fraîches s’y sont remises. Actuellement, seules sont vendues, au rayon apéritif, les amandes grillées, salées, fumées. Et le comble, c’est que, si vous voulez des amandes normales, vous devrez vous rendre au rayon pâtisserie où elles sont vendues… deux fois plus chères, notamment par la marque Vahiné !! (32,80 €/kg contre 16,20 €/kg).

Des centaines de produits ont subi cette même évolution et, en flattant nos sens, nous ont éloignés des produits naturels dont l’organisme a besoin. C’est ainsi que la plupart des gens qui cherchent un soin de mieux être, ont la désagréable surprise d’apprendre par celui qui le pratique que leur corps est carencé de sels minéraux et oligo-éléments essentiels à la vie et à l’énergie vitale.

C’est une autre façon de s’intoxiquer… mais cela n’est pas prévu par la réglementation. Au contraire, cela nous rend encore plus dépendant des grands réseaux agro-alimentaires et de la médecine réparatrice que nous avons favorisée au détriment des solutions alternatives d’origine ancestrale… C’est à chacun d’entre nous d’en prendre conscience et de réagir car les pouvoirs publics ne le feront pas pour nous.

La glucosamine-chondroïtine pour les articulations

La glucosamine et la chondroïtine sont des composantes naturelles du liquide synovial qui baigne nos articulations.
Syn-ovial signifie en grec « comme de l’œuf », parce que le liquide synovial ressemble à du blanc d’œuf cru, étant visqueux, transparent et légèrement jaunâtre.

Le cartilage est une substance vivante, faite de cellules qui se renouvellent régulièrement mais sa particularité est qu’il n’est pas irrigué par des vaisseaux sanguins. Pas de sang, pas de nourriture pour les cellules ! Mais la nature étant bien faite, ce sont les nutriments qui sont dans le liquide synovial qui servent à nourrir les cellules du cartilage.

Celui-ci est légèrement mou et spongieux : les articulations en mouvement compressent le liquide synovial qui pénètre et ressort du cartilage et alimente les cellules. C’est pourquoi le cartilage s’use surtout… lorsqu’on ne s’en sert pas.

Lorsque nous restons immobile, votre liquide synovial devient gélatineux. Mais lorsque vous bougez, il devient liquide et, surtout sa quantité augmente.

L’échauffement qui précède une séance d’exercices stimule la production de liquide synovial. Cela réduit la pression sur les articulations pendant l’exercice et diminue le risque de sefaire mal. Plus vous avez de liquide synovial, mieux votre cartilage est alimenté.

C’est pour cela qu’il est très important que les personnes qui craignent l’arthrose (destruction douloureuse du cartilage) pratiquent une activité physique, en s’échauffant soigneusement. D’ailleurs, il est courant que les personnes souffrant d’arthrose sentent leurs douleurs diminuer lorsqu’elles bougent. Cela pourrait paraître contradictoire, mais nous en connaissons maintenant la raison.

La glucosamine et la chondroïtine sont donc des substances qui se trouvent naturellement dans le liquide synovial ; elles pénètrent dans le cartilage et permettent la fabrication de protéoglycanes.

Les protéoglycanes sont des molécules essentielles dans la biologie des cellules du cartilage. Elles jouent le rôle de « piège à eau ». Comme des éponges, elles retiennent le liquide synovial dans l’articulation. Plus votre cartilage est capable de retenir l’eau, mieux il est hydraté, plus il est flexible et élastique.

Malheureusement, la teneur de votre liquide synovial en glucosamine et chondroïtine diminue avec l’âge. C’est notamment pourquoi le cartilage peut se durcir, se craqueler et provoquer des douleurs.

Des études ont montré que lorsque vous prenez un complément alimentaire de chondroïtine et de glucosamine, on retrouve ces substances dans votre liquide synovial.

Selon une étude réalisée en 2007 aux Etats-Unis, la glucosamine est le complément alimentaire naturel le plus répandu, juste derrière les oméga-3 (extraits d’huile de poisson). Presque 20 % des personnes qui prennent des compléments prennent de la glucosamine.

Des études cliniques ont démontré que :

  • la glucosamine permettrait également de freiner la progression de l’arthrose ;
  • la chondroïtine est efficace pour soulager la douleur associée à l’arthrose et au ralentissement de son évolution. Elle serait favorable à la reconstruction du cartilage et permettrait d’inhiber partiellement l’enzyme responsable de sa destruction, l’hyaluronidase [1].

Il est recommande la prise de 1500 mg de sulfate de glucosamine, en une ou plusieurs doses, en mangeant, et de 800 mg à 1200 mg par jour de chondroïtine, en une ou plusieurs prises. Il faut compter de 2 à 8 semaines pour que l’effet se fasse pleinement sentir.

Sources :

[1] Arthrose : 5 méthodes naturelles pour apaiser la douleur

Santé Nature & Innovation (Août 2014)

 

Les plantes dépolluantes, compagnes de vie, belles et utiles

Avoir des plantes et fleurs chez soi est à la fois bon pour la décoration, l’esprit et la santé. De nombreuses plantes ont en effet des effets bénéfiques par leurs vertus dépolluantes et contribuent ainsi fortement à assainir l’atmosphère que nous respirons.

L’Observatoire de la qualité de l’air intérieur a mené une étude de grande ampleur qui a conclu que 10 % des logements sont très pollués. « La pollution chimique est plus importante à l’intérieur qu’à l’extérieur. » 30 % des logements présentent simultanément 3 à 8 polluants à de très fortes concentrations, que ce soit en raison des produits d’entretien, des appareils de chauffage, du tabagisme ou des acariens.

Le plus répandu est le Formaldéhyde, gaz redoutable par son pouvoir irritant et allergisant. En 2004, le Centre international de recherche sur le cancer (Circ) l’a classé comme cancérogène certain pour l’homme. Des tests ont révélé la présence de formaldéhyde dans des nettoyants et détergents ménagers, des shampooings, des désodorisants d’intérieur, des tapis, des gels douche, du bois aggloméré de meubles, des peintures d’intérieur, des revêtements de sols…

Mais il existe de nombreux autres polluants intérieurs, connus sous le nom de « COV », ou Composés Organiques Volatils tels que :

–  Le Trichloréthylène dégagé par les détergents et solvants,

–  Le Xylène ou le Toluène dégagés par les colles, peintures, adhésifs (servant à coller les parquet et moquette),

–  Le Benzène contenu dans les bouteilles et objets en plastiques,

–  Le Pentachlorophénol, caractéristique des meubles vernis,

–  L’Ammoniac dégagé par la fumée de cigarette…

Or, les progrès des techniques d’isolation font que ces gaz restent de plus en plus longtemps piégés dans les habitations. Quand on sait que nous passons désormais 80 % de notre temps à l’intérieur, cela pourrait expliquer que le nombre de maladies allergènes respiratoires ait doublé en 20 ans.

Il existe de grandes disparités de la dangerosité des COV car de nombreux facteurs sont déterminants. D’une part, les polluants n’ont pas tous la même nocivité. D’autre part, les durées et les fréquences d’exposition aux polluants sont très variables. Enfin, au sein même de la population, tous les individus ne sont pas égaux face aux polluants. Certains groupes de personnes seront plus réactifs que d’autres : les enfants, les personnes fragiles, les personnes allergiques…

Pour les scientifiques, il est aisé de connaître les effets des COV sur la santé lorsqu’il y a exposition à un polluant sur une période courte et à des doses élevées. Il est, en revanche, beaucoup plus difficile de déterminer les effets avec précision, lorsque l’exposition est très prolongée, que les polluants sont nombreux et diffus, et que leur concentration est faible.

L’exposition peut provoquer des désagréments sans gravité ou au contraire des infections graves. Parmi les symptômes légers, on relèvera des irritations nasales, oculaires, cutanées et laryngiques ainsi que des états de malaise ou de fatigue chronique.

Parmi les affections plus graves, on constatera des dysfonctionnements des organes du corps humain : troubles des reins, du coeur, des poumons, du foie ou de l’appareil digestif.

Comment les plantes purifient l’air

Les polluants entrent dans la plante par les feuilles grâce à des orifices appelés « stomates ». Les stomates servent à la respiration, la photosynthèse et la régulation hydrique. C’est grâce à eux que se produisent les échanges de gaz entre la plante et l’atmosphère. Les COV qui sont très volatils et de faible poids moléculaire sont capables de pénétrer dans les stomates. Une fois dans la cavité sous stomatique, les polluants entrent en contact avec l’eau qui tapisse les parois.

Une fois passés à l’état liquide, ils entrent dans les cellules pour y être métabolisés ou éventuellement y être stockés.

Les polluants peuvent aussi tout simplement se déposer sur les feuilles. Ils entrent alors en contact avec la cuticule, une couche lipidique qui protège la plante. Ils peuvent alors migrer vers l’intérieur des feuilles.

Quelques plantes pour commencer

L’azalée absorbe facilement le xylène, l’ammoniac et le monoxyde de carbone. Il est à mettre en priorité dans la cuisine et la salle de bain, où ces polluants sont les plus fréquents.

Le lierre, très facile d’entretien, absorbe le formaldéhyde, le benzène et le trichloréthylène. Mettez-en un pot dans votre bureau, votre chambre, ou votre séjour.

Les chrysanthèmes décomposent l’ammoniac, le benzène, le formaldéhyde, le monoxyde de carbone et le trichloréthylène.

Le ficus, plante arbuste, absorbera lui aussi l’ammoniac, le formaldéhyde, le xylène.

Gelée Royale, Vitamine C, Viverba tonique

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